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Jurassik PC

Jurassik PC
9 septembre 2012

Un lien rapide

Récemment dans un commentaire j'évoquais la possibilité d'utiliser le Live CD de Toutou pour récupérer ses données sur une machine qui ne démarre plus sur son OS habituel (ce qui est possible avec un live CD de n'importe-quelle autre distribution). Voici un lien vers un article qui explique comment faire de manière très détaillée, avec une version de Toutou qui n'est pas tout à fait la plus récente, mais ça devrait être facilement transposable. On trouve des captures d'écran de la phase de démarrage que je n'ai pas trop détaillées ici. Il y a aussi des explications sur les options de boot par la ligne de commande, en cas de démarrage capricieux  :

 

http://www.pc-infopratique.com/article-129-1-recuperer-ses-donnees-avec-toutou-linux.html

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5 septembre 2012

La bataille des captures d'écran

Pour faire un zoulie blog plein de zoulies zimages, et éventuellement pour pouvoir se faire dépanner sur les forums, il est utile de pouvoir faire des captures d'écran. Sur Toutou ce n'est pas si évident et je me suis arraché le peu qui me reste de cheveux pour y parvenir.


En appuyant sur la touche "imprime écran" du clavier, on provoque l'affichage de cette petite fenêtre. Cliquez sur le bouton radio qui vous concerne, puis validez. Dans le cas où vous auriez choisi l'option "une fenêtre seulement" il faut encore cliquer sur celle-ci pour déclencher la capture. Un bip vous indique que c'est chose faite et un un pop-up vous indique où a été stocké la capture.

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Où les choses se sont corsées en ce qui me concerne, c'est quand il a fallu déplacer mes captures vers ma clef USB. Ça m'a coûté mon premier cheveu. Avec Toutou la manière la plus conviviale de faire un copier-coller est de le faire via un glisser-déposer : au moment du déposer, un menu contextuel vous demande si vous voulez déplacer ou copier le fichier. Si vous tentez un collage avec CTRL + C il vous faudra entrer manuellement dans un champ texte l'emplacement de destination ; dans ce cas autant passer par la console non ?

Le hic pour moi, c'est que toutes mes tentatives de collage se soldaient par un message d'erreur (invalid argument), même en passant par la console. Et comme dans ce cas le seul argument suspect était le nom du fichier j'ai décidé de m'y intéresser de près. Shot nomme ses captures suivant la forme heure:minutes:secondes.jpg et ce sont précisément les deux points utilisés comme séparateurs qui semblent poser problème. Il m'a suffit de renommer les fichiers en suprimant ces points et mes copies se sont ensuite déroulées comme sur du velours.

 

Mon deuxième et dernier cheveu je l'ai arraché en essayant de capturer des menus contextuels. Quand l'un deux est à l'écran, très cabot, il accapare tout l'attention et rend inactive la touche "imprime écran".  La solution est de passer par... l'autre programme de capture d'écran proposé par Toutou ! Celui-là est dans le menu programmes > gaphic > capture d'écran et il offre la possibilité d'attendre dix secondes avant de prendre la capture :

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Par contre, les plus futés d'entre vous auront noté que cet outil-là ne permet pas de capturer une seule fenêtre. Mais c'est là son moindre défaut, car une fois les dix secondes écoulées il ouvre la capture dans l'éditeur d'image et c'est ensuite à vous de faire la sauvegarde avec vos petits doigts musclés. C'est un peu fastidieux et il est peut-être un peu dommage de devoir jongler entre deux outils au lieu d'en avoir un seul qui proposerait toutes les options voulues ?

 

5 septembre 2012

Découverte du bureau Toutou

Revoici donc notre bureau tel qu'il se présente juste après le boot (n'hésitez pas à cliquer sur l'image pour l'agrandir) En haut à gauche les icônes sont des raccourcis qui pointent vers les principaux programmes dont vous pourriez avoir besoin (traitement de texte, navigateur internet, éditeur d'image...) Ces logicels forment un ensemble qui paraît suffisant pour une machine qui restera un petit PC utilitaire :

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La première surprise, c'est que cet imbécile de clébard s'obstine à tout ouvrir en double. Mais après lecture de la doc je me suis aperçu que, comme de coutume, le bogue était entre la chaise et le clavier : les chiens étant réputé pour avoir l'oreille fine il n'y a pas besoin de se répéter en double cliquant et un simple clic sur une icône suffit à lancer un programme ou à ouvrir un répertoire.

Tout en bas de l'écran on trouve un tableau de bord et sur sa gauche, l'accès à différents menus :

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L'icône jaune ouvre  le menu "session" qui permet d'arrêter la machine et de gérer sa session (arrêt, redémarrage...)

toutou_menu_session

 

En cliquant sur le "ME" de "MENU", on ouvre le menu "programmes" qui en gros donne accès aux mêmes logiciels que les icônes sur le bureau :

toutou_menu_programmes

 

Et en cliquant sur le "NU", la deuxième partie du mot "MENU", on ouvre le menu "services" qui lui donne accès à des programmes utilitaires concernant notamment la configuration de la bécane :

toutou_menu_services

A noter que l'on peut retrouver ces trois menus en cliquant sur une partie vierge du bureau : un clic milieu ouvre le menu "session", un clic gauche ouvre le menu "programmes", et un clic droit ouvre le menu "services".

 

A gauche toujours, juste au-dessus de ces menus on trouve des icônes représentant les support amovibles : disquettes, clef USB (très bien reconnue chez moi) et disque dur interne (amovible en session "live"). Un simple clic sur l'icône permet de monter le support. Pour le démontage, un clic droit fait apparaître un menu contextuel qui propose le démontage ainsi que d'autres options.

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Finalement la partie droite du tableau de bord propose assez classiquement le réglage du niveau sonore, une icône qui indique l'état de la connexion, la date et l'heure.  Moins classique, une icône et un graphique qui indiquent la mémoire RAM disponible, ce qui est plutôt utile sur un ordinosaure.

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5 septembre 2012

Premier boot sous Toutou

Après avoir réglé mes petits problèmes de mémoire et de disque mou je tente mon premier boot avec le CD de Toutou Linux inséré dans le lecteur. Au bout de trois ou quatre secondes apparaît un premier écran. Je le trouve très rassurant car il montre d'entrée de jeu que les choses sont en route. Rien que ça, ça a l'air bien pensé (parce-ce qu'un tiret de soulignement qui clignote dans un coin, ce n'est pas très parlant...)

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Viennent ensuite quelques écrans en mode texte qui permttent de choisir le clavier et le serveur graphique. Xorg est le choix à privilégier, mais s'il ne fonctionne pas on peut se rabattre sur Xvesa, un serveur minimaliste. Dans mon cas Xorg détecte parfaitement mon matériel et me propose différentes résolution d'écran compatible icelui.  Je choisi la plus élevé : 1280 x 1024 pixels ce qui est assez sympa pour mon 17 pouces et finalement j'arrive au bureau Toutou :

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J'adore quand un plan se déroule sans accroc ! Le boot pren bien sûr un peu de temps, mais ça reste raisonable : environ deux ou trois minutes (par la suite, même l'utilisation sur Live CD est assez agréable et ne donne pas l'impression de se traîner outre-mesure). Après un clic sur le pop-up pour le faire disparaître, un assistant de configuration s'affiche automatiquement. Je le ferme, bien décidé à partir tout seul à l'aventure...

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22 août 2012

Où l'on cesse de piétiner...

Voici enfin quelques progrès dans la résurrection du Jurassik PC dont beaucoup d'occupations m'ont tenu éloigné : chercher du boulot, jouer à Simutrans, ne pas trouver du boulot, jouer à Simutrans, faire des travaux dans la maison, jouer à Simutrans, transpirer, jouer à Simutrans, transpirer encore plus en coupant du bois pour l'hiver (je suis un fan de Charles Ingalls...) et aussi jouer à Simutrans.

 

J'ai donc procédé au redémarrage de la bête que j'avais entièrement désossée et dépoussiérée au mois de février. Et ma première déconvenue a été d'être accueilli pas un BIOS pas content du tout :

 

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L'erreur de mémoire provenait tout simplement de la barrette supplémentaire que l'on m'avait généreusement donnée. Dommage : la bestiole devra pour l'instant se contenter de 128 mégas de RAM au lieu des 256 sur lesquels je comptais. Toutefois j'apprends enfin la fréquence de mon processeur : 350 mHz, ce qui est une bonne nouvelle car je croyais que les PII s'arrêtaient à 300.


Le deuxième message d'erreur provenait d'un lecteur de disquettes rebranché à l'envers. Côté lecteur c'est plutôt ficelle car il n'y a pas de détrompeur (côté carte-mère par contre, aucun risque de gourance). J'ai trouvé la solution sur le web : si la diode du lecteur de disquettes reste allumée en permanence c'est que la nappe est branchée dans le mauvais sens. C'est sans danger : il suffit de la rebrancher correctement et au redémarrage de la machine :

 

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Alléluia ! Et le premier qui se moque de ma toile cirée prend mon pied au cul. Windows redémarre sans problème, re-détecte les périphériques, démontage oblige, et n'achoppe que sur la carte Ethernet pour laquelle il ne trouve pas de pilote (normal). Le lecteur de disquettes se comporte finalement correctement. Je me ballade un peu sur le disque dur à la recherche des petits secrets de mon patron, mais à part une photo de Laurence Parisot toute nue, ce qui est normal pour un patron, je ne trouve rien de bien compromettant. Globalement la machine est quand même très poussive. Je sais qu'elle est vieille, mais c'est quand même assez lent pour être qualifié d'anormal.


Dernier test : je redémarre la machine et entre dans le BIOS pour reconfigurer ma séquence de boot. Sur ce vieux BIOS ce n'est pas si simple, mais je m'en sors et la machine boot sans problème sur un Live CD d'Ubuntu 10.10. Bien sûr je n'ai pas attendu le démarrage complet (j'y serais encore à Noël) mais maintenant je sais que je n'aurai pas à m'emmerder avec des disquettes pour installer Linux. J'ai l'intention d'essayer Toutou Linux et aussi de voir ce que donne Debian en Live CD avec XFCE.

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26 février 2012

Où l'on piétine...

Trop occupé à rater des photos lors du concert d'amis jazzeux je n'ai pas pu toucher à l'ordinausore ce week-end. Par contre, je prend tout de même le temps d'adresser un petit merci à Anatoletux qui m'a fait passer une barette de RAM de 128 mégas ce vendredi. Cela me fait donc 256 mégas en tout, ce qui en plus de faire tourner la bécane plus vite devrait faciliter l'installation.

J'ai ouvert un fil sur le forum Ubuntu.fr et plein de gens se sont précipités au chevet de ma vieille bécane. On dirait un peu une scène de le Malade imaginaire, mais toutes ces personnes m'ont apporté pleins d'infos en ce qui concerne l'installation d'un OS minimum, un Linux tout nu avec juste une console, afin d'ajouter ensuite le GUI de mon choix, puis uniquement les logiciels indispensables (et puis on me sussure à nouveau le nom de Toutou Linux...) Merci à eux !

23 février 2012

Le clavier et le mulot

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Tout cela est bien plus récent que le PC. J'ai presque envie de récupérer le clavier pour ma propre bécane dont la touche espace est quasiment transpercée à forece d'usure. Quant à la souris, c'est une sorte de relique : une souris à boule ! Tous ceux qui s'en sont un jour servi savent que ça devrait s'écrire souris à bouleS, biscotte pour arriver à faire une sélection précise avec ça il faut se lever de bonne heure et on y perd souvent son calme...

19 février 2012

Le moniteur

Mesdemoiselles à la chevelure dorée, on se calme ! Merci ! Ce moniteur n'est pas un grand blond aux yeux bleus avec des aisselles fleurant bon le méthane et un poitrail à faire verdir de jalousie les falaises de Douvres. Il ne vous apprendra ni à skier, ni à jouer au tennis, ni à danser le tango chaloupé. Un moniteur en informatique, c'est un écran. Une grosse télé avec une seule chaîne quoi !

 

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Décidément mon patron m'a gâté car celui-ci est un 17 pouces alors qu'à l'époque le 15 pouces n'était encore pas si rare. Èvidemment ça pèse un âne mort. Dans les quinze kilos je dirais ce qui nous met le P.P.P. (Poids Par Pixel...) à environ 7 milligrammes. Mon 26'' moderne à un P.P.P. de 3,4 mg, mais tout le monde s'en fout des mecs qui n'ont rien d'autre à faire que des calculs à la con pour s'occuper le dimanche !

 

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C'est un Iiyama, comme mon actuelle dalle justement.

 

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Un tas de sorties qui n'ont jamais servie et ne serviront sans doute jamais. Mais l'essentiel, c'est que l'engin plaise au chat :

 

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19 février 2012

Le détail qui tue...

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Le bloc d'alim dispose d'un sélecteur qui permet de choisir la tension d'entrée : 110 V ou 230 V. Et ça, j'aime pô : j'ai connu quelqu'un qui a grillé un PC qu'il venait juste d'acheter à cause de ça. Ce satané bouton avait basculé au cours du transport ou à cause d'un epoussetage trop vigoureux. Et crac !

Pour éviter ça, je l'ai bloqué avec un scotch d'électricien, mais s'il bouge quand-même, on ne le verra pas... et crac ! Je cherche toujours la solution idéale. Un point de colle peut-être ?

19 février 2012

Le lecteur de disquettes

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Je met juste la photo pour que les plus jeunes de mes visiteurs voient ça au moins une fois dans leur vie. Et encore, je suis sûr qu'il ne me croiraient pas si je leur parlaient de ces grosse disquettes de 5'' 1/4 qui étaient vraiment "floppy" et ne pouvaient même pas stocker une photo de Lady Gaga à loilpé ! Si les jeunes ! C'est pour ça qu'il n'y a pas de lecteur B:/ sur votre ordi : le B:/ était réservé au lecteur de grosses disquettes toutes molles. En fait ces machins-là on les aurait facilement confondu avec un disque de stationnement...

19 février 2012

La mémoire

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Deux fois 64 Mo à 100 MHz alors qu'actuellement on peut trouver des barettes de 8 gigas qui tournent à 2400 MHz (sur un enregistreur numérique de studio professionnel un copain avait 256 gigas de RAM) ! A noter que l'on trouve encore de la SDRAM neuve pour moins cher qu'une cartouche d'encre d'imprimante : http://www.ldlc.com/informatique/piece/memoire-pc/c4703/+fv133-1895.html.

19 février 2012

Le disque dur

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Là encore un modèle courant d'une marque réputée. Quand elle a été achetée cette bécane ne devait pas être si merdique. Par contre la capacité fait un peu rire : 8 gigas alors qu'on trouve actuellement des monstres de 2 téras pour le prix d'un kilo de Carambar ! Où je ris moins, c'est qu'il va falloir partitionner ça : un home, une racine et un swap. Quelle place laisser à chacun ? je verrai le moment venu : pas la peine de se torturer les méninges si le PC ne boot pas !

19 février 2012

La carte Ethernet

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Fabriquée par 3.com, elle aussi a l'air très courante : si on fait une petite recherche sur le web on trouve pas mal d'adresses qui proposent son pilote pour Windows XP. De plus, au hasard d'une recherche je tombe sur l'info suivante : les cartes 3.com seraient très bien reconnues par Linux.

Ce qui est marrant c'est que le vieux P2 était relié au réseau de la boîte et que c'est la seule machine qui a été totalement épargnée par une épidéme de chtouille numérique. Et pourtant elle n'était même pas protégée par un antivirus. Il faut croire que les développeurs de virus ne se cassent plus le tronc à développer pour W98...

19 février 2012

La carte son

Voici à quoi ressemble la carte son :

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C'est un modèle apparemment très courant d'une marque répandue (si ce n'est réputée...). Wikipedia en V.O. lui consacre un large article : http://en.wikipedia.org/wiki/ES1371#ES1371_and_ES1373. C'est plutôt bon signe quant à la reconnaissance par l'O.S. je pense...

18 février 2012

La carte graphique

J'ai démonté tous les composants du PC un par un afin de pouvoir les dépoussiérer (avec un pinceau) et de pouvoir les identifier. D'abord la carte graphique :

 

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C'est une ATI Rage Pro Turbo AGP (ouf !). Déjà, c'est rassurant, ce n'est pas un truc exotique et j'ai toujours entendu dire que Linux reconnaissait très bien le vieux matos. Pas facile de trouver des infos sur une carte qui remonte à 1997, voici quand-même ce que j'ai pu glaner :

Résolution maximum : je ne sais pas, mais un modèle similaire affiche 1600x1200 à 85 Hz et 16,7 millions de couleurs. C'est de l'AGP 2x (chouette ! J'ai une carte super rapide !). La fréquence de la puce est 75 MHz et suivant modèle la mémoire est de 4, 8 ou 16 MB à 100 MHz. Je n'ai pas pensé à examiner la carte pour vérifier de quelle quantité je disposais, mais le BIOS me le dira bien au premier boot. Sur une autre photo, je vois deux grosses barettes, je penche donc pour 8.

 

Histoire de rire un peu, faisons un tour chez un vendeur de matos pour comparer avec ce qui se fait maintenant. Pour rester chez ATI, je regarde les caractéristiques d'une carte équipée de la plus petite puce Radéon disponible sur le site et vendu une centaine d'euros : Gainward HD 4850 512MB.

La fréquence de la puce est de 625 MHz et celle des 512 MB de mémoire de 993 MHz. Au-delà des chiffres, je suppose que les améliorations apportées aux architectures induisent en elles-mêmes un gain de performances et qu'à caractéristiques égale cette carte serait encore bien plus rapide que son ancètre. La résolution maximum est de 2560 x 1600 pixels.

Si on regarde la carte la plus chère avec la plus grosse puce Radéon (Gigabyte GV-R797OC-3GD) on a : fréquence GPU 1000 MHz, mémoire 3 GHz, fréquence 1375 MHz et résolution, 2560 x 1600. Ce machin pour gosses de riches qui sera dépassé dans six mois et verra son prix diminuer de moitié coûte actuellement l'équivalent d'un mois du salaire d'une caissière de supermarché. Je vous l'avais bien dit qu'on allait se marrer !

 

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